LES PETITS ONT GRANDI ....

aron  et diego (15 mois) lalie 4 ans

LALIE A FETE SES 4 ANS 

AVES SES PETITES COPINES DE MATERNELLE  

 SUR UN AIR DE "RENE LA TAUPE"

MOMENT TRES IMPORTANT  

LACHE DE BALLONS DANS LE CIEL DE PRAHECQ 

UN TRIO DE CHOC

DIEGO  LALIE  ARON 

 DIEGO ET SA NOUVELLE CABANE

 petit chevalier isaac (2 ans) 

avec sa nounou

dans les rues de st pardoux

petit chevalier protecteur

de

emma et zelie

sur les pentes vertigineuses de cauteret 

 assez de photos pour aujourd hui !!!

 mais oui !! il reste encore un peu de neige

hi hi hi hi

 merci bounia pour le joli fond

THEO

LE JOB

Tous ceux qui, sur Niort dans l'ombre,

au sein des associations,

s'activent à aider les démunis,

s'accordent pour en témoigner:

ceux qui,désormais,

viennent chercher de la nourriture,

ne sont plus seulement des sans-abri,

ce ne sont plus seulement des chomeurs.

Ce sont de plus en plus

des personnes qui ont un travail

mais sont si peu payées

qu'elles ne peuvent pas faire face.

On a plus d'emploi,

juste un petit job,

payé à coup de lance-pierres,

ce qui oblige à manger avec le même lance-pierre,

vu qu'on a pas de quoi remplir le frigo.

Ainsi va la France de 2011,

qui remet au gout du jour

la vieille expression

"pauvre comme un job"

THEOPHRASQUE

Article paru dans la nouvelle république

merci thèo   merci bounia

Théo

LE MOUCHOIR

Notre langue est surprenante à bien des égards.

La problématique des mots ou expressions menacés

 de disparition ,

voilà un mystère qu'il est bien difficile de percer !

 Si l'on peut admettre que le cabaretier ou

 le rémouleur soient guettés par l'oubli,

 le métier ayant péréclité, comment expliquer

que la métaphore

" mouchoir de poche" soit encore en usage

 comme j'en ai encore eu la preuve hier

 dans un commerce du centre ville ?

"Son p'tit studio  est grand comme

 un mouchoir de poche !",

 s'étonnait ainsi un quidam.

Bien malin qui pourrait dire aujourd'hui

ce qu'est exactement un mouchoir de poche

sinon une trés approximative unité de grandeur

                                                      théophrasque

article paru dans la "Nouvelle République"

merci  THEO et merci BOUNIA